Our news

Être une marque fabricante
Chez Atelier TUFFERY, être fabricant n’a jamais été un slogan. C’est notre réalité depuis 1892. Nous ne faisons pas que signer un vêtement : nous le fabriquons. Nous dessinons, nous coupons, nous assemblons, nous réparons.
Ce choix change tout. Parce que lorsque l’on fabrique soi-même, on garde la main du début à la fin. Du croquis à l’expédition, chaque étape est maîtrisée, vérifiée, assumée. Cela nous permet de rester justes dans nos prix, transparents dans nos méthodes, et exigeants dans nos gestes.
C’est ça, être une marque fabricante : relier d’un seul fil les mains qui créent et celles qui portent.
Ce choix change tout. Parce que lorsque l’on fabrique soi-même, on garde la main du début à la fin. Du croquis à l’expédition, chaque étape est maîtrisée, vérifiée, assumée. Cela nous permet de rester justes dans nos prix, transparents dans nos méthodes, et exigeants dans nos gestes.
C’est ça, être une marque fabricante : relier d’un seul fil les mains qui créent et celles qui portent.
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Les Heures Bleues 2025 : Cinq soirées pour ralentir, respirer, partager
Sur les toits de notre manufacture, au cœur des Cévennes, les soirées d'été reprennent leur souffle. Un rendez-vous musical, convivial et engagé, signé Atelier TUFFERY.
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Braderie des Parfaits Imparfaits 2025 : À Florac et en ligne, l’imperfection trouve sa place
Du 30 juillet au 1er août, nous vous invitons à une nouvelle édition de notre braderie estivale, pensée pour mettre en lumière ce que nous appelons les Parfaits Imparfaits : des pièces qui ne répondent pas à nos standards habituels, mais qui méritent d’être portées, transformées, prolongées.
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Carnet d’été : Sur le chemin de Stevenson
Cet été, on vous emmène sur les chemins. Pas pour refaire l’Histoire, mais pour mieux entendre ce qu’elle murmure. En suivant les pas de Robert Louis Stevenson, on voulait vous raconter notre territoire autrement. Le voir avec les yeux d’un marcheur. Sentir ce qui lie les paysages, les gestes et les gens. Ce carnet, c’est notre façon de vous emmener avec nous. Étape par étape. Pas à pas, dans un territoire qu’on affectionne plus que tout.
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Les Cévennes — Là où le chemin devient mémoire
On quitte Florac au matin, comme on referme un livre dont les dernières lignes résonnent encore. Le sac est plus léger, ou bien c’est l’esprit qui l’est. L’atelier est derrière, le fil est dans la poche. On traverse le pont, on suit la rivière un temps. Puis les premiers virages. Le chemin grimpe à nouveau.
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Florac — Là où le fil rejoint le chemin
La descente du Mont-Lozère ne prévient pas. Elle commence en silence, dans un décor plus doux, presque accueillant. Après les crêtes pelées, les landes sèches et les drailles battues par le vent, la forêt revient, d’abord timide, puis dense. Les pierres s’espacent. Le vent faiblit. Et le marcheur, lui, descend — le pas moins fier, les genoux plus lourds. Chaque virage semble rapprocher quelque chose qu’on ne voit pas encore, mais qu’on pressent.
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Gévaudan — La trace des légendes
On ne voit pas vraiment le moment où l’on quitte le Velay. Il n’y a pas de ligne, pas de panneau, pas de rupture. Juste un changement d’ambiance. Quelque chose dans l’air, dans la lumière, dans la manière dont les arbres se serrent un peu plus près les uns des autres. Le paysage s’épaissit. Ce qui était ouvert se referme légèrement. Ce qui était simple devient un peu plus dense. Et le pas, sans ralentir, devient plus attentif.
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Mont-Lozère — La ligne d’horizon
On ne sort pas vraiment du Gévaudan, on s’en extrait. Lentement, mètre après mètre, à la force des jambes. Le chemin prend de la pente, la forêt s’éclaircit, le ciel s’élargit. Quelque chose change dans la lumière. Elle tape plus franc, plus blanc. Le vent se lève. Il n’est plus dans les feuilles, il est contre la peau.
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Le Velay — L’aube du chemin
Rien ne se passe vraiment au début. Et c’est justement ça, le début. Pas de paysage qui saute aux yeux, pas de cri du vent dans les hauteurs, pas de ligne d’horizon spectaculaire. Juste ce quelque chose qui s’installe en soi, quand on commence à marcher sans but précis, mais avec la sensation que c’est le moment. Le Velay ne vous prend pas à la gorge, il vous prend par la main. Il vous met dans les jambes un rythme que vous ne déciderez plus tout à fait. Les premières heures sont faites de ce silence-là.
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